"Je ne t'apporterai que malheur !"

Je marche dans les long couloir de cette académie sans fin. Toujours le même train-train quotidien. Les gens, vont et vienne  sans que quelqu'un ne se soucis de ma présence. J'y suis habituée désormais. Tout dans cette académie me faisait penser que je m'y sentirais bien mais à croire que je n'apporte que malheur, rien de bien ne se passe pour moi.

Je marche encore. Les choses que je vois ne me paraissent jamais différente. Tout les matins les même chose s'offrent devant moi. On se croirai dans un mauvais film où l'histoire recommence tout les jours sans fin sauf que là, le temps passe. Je suis seule, dans mon coin, les gens n'aime pas vraiment m'approcher. Je me met, comme d'habitude, au fond de cette classe qui me parait grisâtre et ennuyante. Les gens entrent et s'éloigne un maximum de moi, comme si j'étais contagieuse !

Je vois toujours les mêmes tableaux. Mon ex, qui embrasse cette fille, la nouvelle de la classe.....ma pauvre si tu savais qui il  est vraiment. Au fond de moi, tout n'est que tristesse, si seulement quelqu'un pouvait me comprendre mais j'attire vraiment le malheur, ce qui effrai les gens. Pourtant je n'ai pas l'impression d'être différente .... je me sens juste.... moi.  Mais aujourd'hui, je sens que ca ne sera pas une journée barbante et ennuyeuse que me propose ma vie minable. Nous acceuillons un nouvel élève qui lui, ne sait pas que je porte malheur. Peut-être qu'on pourra devenir amis ? La cloche sonne.

Quelques heures plus tard, je marche encore. L'élève en question, est un garçon de mon quartier. Il a déjà entendu parler de moi....

"Regardez ! C'est la fille qui porte malheur ! " Les gens se moquent de moi, de mon passé, de qui je suis réellement.

L'élève de ce matin tente de s'approcher de moi. Il essai de me parlais. Je le trouve plutôt mignon mais quelque chose me dit qu'il ne faut pas qu'il m'approche. Comme si j'essayer de le protéger de moi-même. Mais je ne pourrais pas lui échapper   éternellement.... Les heures passent et la cloche sonne midi. Je vais, comme d'habitude sur le toit de cette académie. Je mange. Là, je vois une personne sur le toit. C'est lui..... Il approche. Il me tend un papier où il me donne rendez vous derrière l'académie après les cours.

J'accepte avec curiosité. Que veut-il me dire ? Je sens mon coeur battre à toute allure. C'est la première que je ressens ça. Ce n'est pas désagréable mais quel est ce sentiment ...? C'est aussi la première fois que j'attend quelque chose avec tant d'impatience. Les secondes me paraissent être une heure, les minutes m'en paraissent des journées et les heures une éternité. J'ai l'impression que des ailes me pousse. Mais les personnes qui se trouvent dans ma classe me rappellent vite que le malheur m'entourent.

La fin des cours sonnent, mon enthousiasme a disparue mais je vais tout de même au rendez vous. Mon coeur bat la chamade. J'attend. J'attend. Personne n'arrive. Mes larmes commencent à monter. Je me dit que je ne suit qu'une belle idiote, que je n'aurais pas du espérais cette personne qui ne viendrait jamais. Je tourne les talons et je commence à marcher sans but précis.

"Attend !" 

Je me tourne et je vois ce garçon qui vien de me faire tant pleurer. Il s'approche et me prend dans ses bras. Mes larmes n'en finissent plus de couler. 

"Excuse-moi de t'avoir fais attendre..... Je voulais te dire que je t'aime... mais..."

"Je ne t'apporterai que malheur !" Cette phrase que nous avons dit en même temps.... je reste sans paroles.

"Et bien le malheur plus le malheur ne peut qu'apporter bonheur non ?" me dit-il en souriant.

Aujourd'hui est vraiment un jour nouveau ! Premier jour d'automne, toi et moi, réunis je l'espère à jamais. Il m'embrasse et les feuilles dorées des arbres qui nous entourent commencent à s'envoler. Finalement sa y'est. J'ai trouvais la personne qui m'est destinée. Je l'aime et aujourd'hui sera gravé d'une pierre blanche, car peut-être que je n'attire pas que le malheur vue qu'il est là.

Fin.

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Désolée pour les nombreuses fautes d'orthographes et ce texte surment minable.